E.5.4. Jargon des appellations de mémoires
La carte
mère1 est une plaque électronique qui reçoit et distribue les
câbles d'alimentation. Elle est constituée du microprocesseur du
micro-ordinateur qui en est un élément important, de chipsets*,
de résistances, de condensateurs, de circuits intégrés spécialisés dans une
tâche (ASIC) et de contrôleurs. La carte mère a pour fonction essentielle
d'assurer harmonieusement la liaison entre tous les éléments qu'elle contient.
C'est aussi elle qui, par l'intermédiaire de ses circuits électroniques,
assure la bonne communication entre le microprocesseur et les périphériques.
Une carte mère de bonne qualité doit être rapide, extensible et
fiable. Le premier facteur dépend de la puissance du bus2.
L'extensibilité de la carte est un facteur essentiel, les extensions
permettant d'améliorer la puissance du micro-ordinateur et d'en étendre les
applications. La carte mère doit être ainsi dotée de prises pour câbles
d'alimentation, de supports de barrettes de mémoire vidéo, de mémoire vive
avec, de préférence, plusieurs connecteurs d'extension (03 connecteurs DIMM
allant jusqu'à 768 Mo, par
exemple), des connecteurs pour cartes d'extension ainsi que des interfaces pour
périphériques externes.
(1). Carte mére ou encore appelée « Carte
processeur » ou « Carte système ».
(2)
. A voir dans "Le Bus d’extension".
.
La facilité d’insertion des cartes*,
l'existence d'un ventilateur (présent sur le microprocesseur afin de le
refroidir), d'une pile permanente, directement intégrée sur la carte mère, et
d'un BIOS* récent, caractérisent, entre autres, la fiabilité de la
carte mère.
Sachez aussi qu’il existe différents types de cartes mères, celles
qui peuvent accueillir les microprocesseurs Intel, et celles qui peuvent
accueillir les microprocesseurs AMD et Cyrix. Extérieurement, elles se
distinguent par le socket qui est le support du microprocesseur. Les
microprocesseurs Intel (Pentium II/Pentium III) sont au format de type Slot I.
Les processeurs Celeron sont au format socket 370 (ou PPGAUn adapteur est
d'ailleurs disponible pour adapter des Celeron PPGA sur des cartes mères SlotI.
Les cartes au format Socket 370 sont à déconseiller puisque ce sont les moins
évolutives à cause de leur chipset (Bus à 66Mhz).
Quant aux microprocesseurs AMD (type K6-2 et K6 III) et aux
microprocesseurs Cyrix, ils sont au format Super Socket 7.
Les processeurs AMD Athlon sont au format Slot A (identique physiquement au Slot
I mais pas électriquement).
Sur certaines cartes mères surtout actuelles, des composants remplaçant
la carte son et la carte grahiques sont dejà intégrés.
La carte mère doit
pouvoir avoir une fréquence supérieure à 100Mhz (100 Mhz étant le standard
actuel) et doit pouvoir aller au moins jusqu'à 133 Mhz. Les coefficients
multiplicateurs doivent aller au moins jusqu'à 5,5.
Un micro-ordinateur se caractérise en premier lieu par le
microprocesseur dont il est équipé. C'est l'élément le plus important, le
moteur en quelque sorte. Toutes les informations qui circulent dans le
micro-ordinateur passent par lui. Il exécute les ordres des logiciels et envoie
des instructions au disque dur, à la mémoire et à l'écran. De sa puissance dépendent
donc les performances globales de la machine.
L’histoire des microprocesseurs commence avec INTEL. Cette société ne
cesse d’innover et de commercialiser des microprocesseurs de plus en plus évolués.
Les plus renommés, le 8086, le 8088 ainsi que le microprocesseur 80286 appelé
communément le 286 ont totalement disparu et ont laissé la place à d’autres
familles de microprocesseurs. Dans le tableau comparatif suivant, sont représentées
les caractéristiques des différentes familles de microprocesseur avant
l'apparition du Pentium.
Microprocesseur |
Nombre
de transistors |
Bus de données |
Vitesse
d’horloge |
Mémoire
cache |
Coprocesseur |
80286 |
134
000 |
16
bits |
12
à 25 Mhz |
-- |
En
option(1) |
80386 |
285
000 |
32
bits |
20
à 40 Mhz |
-- |
En
option(1) |
80486 |
1
200 000 |
32
bits |
25
à 100 Mhz |
8
Ko |
En
option(1) |
Le PENTIUM représente l’ultime progrès actuel en matière de
microprocesseur. Il a envahi le marché et supplanté ses prédécesseurs
jusqu’à ce qu’un autre microprocesseur vienne le remplacer. INTEL, pour
protéger ses microprocesseurs du clonage, a préféré octroyer un nom générique
à ses nouveaux microprocesseurs, en l’occurrence le pentium
et non pas le 80586, la législation
internationale ne protégeant pas les produits dont la dénomination est
constituée de chiffres.
Les plus grands constructeurs mondiaux de microprocesseurs sont :
- INTEL
- AMD
- CYRIX
- IBM
- NEXGEN
- MOTOROLA
Microprocesseur |
Date
d'apparition |
Cache
second niveau L2 en Ko |
Fréquence en
Mhz |
Nbre
de transistors en millions |
Pentium 60 et 66 |
Mars
1993 |
0 |
60, 66 |
3,1 |
Pentium 75 |
Octobre
1994 |
0 |
75 |
3,2 |
Pentium 90 et 100 |
Mars
1994 |
0 |
90, 100 |
3,2 |
Pentium 120 |
Mars
1994 |
0 |
120 |
3,2 |
Pentium 133 |
Juin
1995 |
0 |
133 |
3,3 |
Pentium 150 et 166 |
Janvier
1996 |
0 |
150, 166 |
3,3 |
Pentium 200 |
Juin
1996 |
0 |
200 |
3,3 |
Pentium 166, 200 et 233 MMX |
Janvier
1997 |
0 |
166, 200 et 233 |
4,5 |
Pentium Pro |
Novembre
1995 |
0 |
150, 166, 180 et
200 |
5,5 |
Pentium Pro |
Novembre
1995 |
256 |
150, 166, 180 et 200 |
15,5 |
Pentium Pro |
Novembre
1995 |
512 |
150, 166, 180 et 200 |
31 |
Pentium Pro 200 |
Aout
1997 |
1 Mo |
200 |
5,5 |
Celeron 266 et 300 |
Avril
1998 |
0 |
266 et 300 |
7,5 |
Celeron 300A et 333 |
Aout
1998 |
128 |
300 et 333 |
19 |
Celeron 366
et 400 |
Janvier
1999 |
128 |
366 et 400 |
19 |
Pentium II 233, 266 et 300 |
Mai
1997 |
512 |
233, 266 et 300 |
7,5 |
Pentium
II 333 |
Janvier
1998 |
512 |
333 |
7,5 |
Pentium
II 350 et 400 |
Avril
1998 |
512 |
350 et 400 |
7,5 |
Pentium
II 450 |
Aout
1998 |
512 |
450 |
7,5 |
Pentium II Xeon 400 et 450 |
Juin
1998 |
512 et 1 Mo |
400 et 450 |
7,5 |
Pentium II Xeon 450 |
Janvier
1999 |
512, 1 Mo et 2 Mo |
450 |
7,5 |
Pentium
III |
Février
1999 |
512 Ko |
500 |
7,5 |
Le
nouveau Pentium III conserve une architecture générale comparable à celle du
Pentium II, ce qui lui permet d'être exploité sur les cartes mères à base de
chipset 440BX dont le Bios doit être toutefois mis à jour.
Le Pentium III n'est qu'un Pentium II auquel on a rajouté un jeu de 70 instructions SIMD appelées SSE qui accélèrent le traitement de certaines tâches de traitement 3D, audio, vidéo, ... pour les applications optimisées SSE. Les SSE permettent d'obtenir un gain d'environ 25%. Le Pentium III est au format Slot I.
Voici
les différentes versions du Pentium III : normale
(Bus 100Mhz, Gravure : 0.25 microns et Mémoire cache L2 : 512 Ko
externe) ; B (133Mhz, 0.25 microns, 512 Ko L2 externe) ; E (100 Mhz, 0.18
microns, 256 L2 on die) ; EB (133 Mhz, 0.18 microns, 256 L2 on die). Certains de
ces Pentium III sont au format FC-PGA.
Les avantages du Pentium 4 sont censés
être : le gain de temps pour l'encodage de fichiers sonores MP3, une fréquence
image supérieure pour les jeux en 3D, le montage et la diffusion de séquences
vidéo de qualité professionnelle.
La mémoire cache ou cache second
niveau (L2) est une mémoire tampon plus
rapide qui évite aux microprocesseurs d'attendre les données, elle se situe
sur la carte mère. La mémoire cache L1 se trouve, elle, à l'intérieur du
microprocesseurs. La mémoire est de l'ordre de 32 Ko sur les Pentium II.
Le MMX (MultiMedia eXtender) désigne
les microprocesseurs comportant 57 instructions de plus et qui concernent les
applications multimédias comme le son, la décompression Mpeg, etc.
L'overclocking
consiste à faire tourner le microprocesseur à une fréquence plus élevée que
la fréquence pour laquelle il a été conçu. Cela marche sans problème
lorqu'on augmente la fréquence de pas plus de 10-20%. Cela est possible en
augmentant la fréquence de bus de la carte mère. Mais
il vaut mieux prévoir un bon système de refroidissement pour le
microprocesseur. L’Overclocking reste un risque et est réservé aux
bidouilleurs confirmés.
La génération à laquelle appartient un microprocesseur n’est pas le
seul facteur de sa puissance et de sa vitesse d’exécution. Sa fréquence
d’horloge est un autre facteur important.
La fréquence d’horloge est la cadence à laquelle le microprocesseur
exécute les instructions qui lui sont transmises par les différents périphériques
du micro-ordinateur. Cette fréquence1
se mesure en MégaHertz2
(millions d'impulsions par seconde) ordinairement abrégé en Mhz. Plus cette fréquence
est élevée, plus le microprocesseur est rapide.
(1)
Fréquence : la plupart des signaux sont formés d'ondes sinusoïdales. La fréquence
désigne le nombre d'oscillations de ces ondes en une seconde.
(2) Hertz
(Hz) : unité de mesure des fréquences correspondant à un cycle par seconde.
Le bus de données
est un circuit de connexion qui permet de transmettre les données traitées
entre le microprocesseur du micro-ordinateur et ses périphériques d’entrée-sortie.
Le bus de données est un circuit important, car de sa performance dépend la
rapidité de transmission de l’information. Le bus est relié au
microprocesseur par des connecteurs. Plus ces derniers sont nombreux, plus on
pourra y insérer des cartes. Les
différents bus existants sont le bus ISA
(Acronyme de Industry Standard
Architecture),
le bus MCA (Acronyme de Micro
Channel
Architecture),
le bus EISA (Acronyme de
"Extended Industry Standard"
Architecture)
et le bus LOCAL. Ce dernier accélère
encore plus l’échange entre le microprocesseur et les périphériques
d’entrée-sortie. Le bus LOCAL
comprend le bus VLB (Acronyme de Vesa
Local
Bus)
et le bus PCI (Acronyme de Peripheral
Component
Interconnect).
Les caractéristiques de tous ces
différents bus sont exposés dans le tableau suivant.
Bus |
Fréquence |
Largeur (voies) ou taille des données |
Débit(1) |
ISA |
8
Mhz |
8/16
Bits |
8
Mo/s |
EISA |
8
Mhz |
8/16/32
Bits |
33
Mo/s |
MCA |
10
Mhz |
16/32
bits |
20
ou 80 Mo/s |
PCI |
33
Mhz |
16/32
bits |
132
Mo/s |
VLB |
33
Mhz |
16/32
bits |
133
Mo/s |
·
Les
micro-ordinateurs portatifs, vu leur taille réduite, sont dotés de bus PCMCIA
(Personal
Computer
Memory
Card
International).
Ces bus ne peuvent recevoir les mêmes cartes d’extension que celles des
micro-ordinateurs non portatifs.
(1). Débit ou Taux de transfert : Ce taux est exprimé
en Mega-octet par seconde (Mo/s). Il représente la quantité d’informations
qu’un bus peut transporter en une seconde.
Le bus AGP se caractérise
par une vitesse d'horloge minimale de 66 MHz, ce qui autorise des taux de
transfert atteignant jusqu'à 266 Mo/s. Une communication AGP en 2x donne un débit
qu'atteindrait le bus PCI 133 MHz, soit un débit maximal de 532 Mo/s.
Le nouveau mode AGP 4x autorise des débits supérieurs à 1 Go/s.
Les micro-ordinateurs disposent de
plusieurs types de mémoires :
La mémoire vive
d’un micro-ordinateur est l’espace de travail dans lequel il place les
informations qu’il est en train de traiter.
Pour un micro-ordinateur, la taille (ou
capacité) de la mémoire est communément mesurée en Mo (Méga-octets). Plus
cette mémoire est importante plus vous pouvez chargerd'applications en même
temps et surtout plus vite elles s'exécuteront.
Si la mémoire vive disponible est saturée, les données sont alors stockées sur
le disque dur (on parle alors de
mémoire swap ou mémoire virtuelle). Cette procédure entraînera un
ralentissement du système car le disque dur est beaucoup plus lent que la mémoire
vive. En effet, le disque dur a un temps
d'accès moyen de 8,5 ms (10-3
s) alors que celle de la mémoire vive est de 10 ns (10-9s).
La première partie, la mémoire
conventionnelle, qui est de 640 Ko, est destinée à exécuter les
logiciels. La mémoire supérieure, comprise entre 640 et 1024 Ko (d’une taille
donc de 384 Ko), est destinée à placer des gestionnaires de ressources matérielles
(carte d’affichage, par exemple) pour réduire l’occupation de la mémoire
conventionnelle.
Ensuite à un niveau supérieur se trouve la mémoire
haute (HMA). Cette dernière permet de loger MS-DOS à la condition que le
micro-ordinateur dispose d’au moins 1 Mo de mémoire totale et libère ainsi
la mémoire conventionnelle.
Enfin, la portion restante est occupée soit par la mémoire étendue
(XMS), soit par la mémoire paginée (EMS). Ces deux types de mémoires nécessitent
l’installation d’un gestionnaire tel que HIMEM pour l’étendue. Les
notions de mémoire paginée et étendue ne sont utilisées qu’avec MS-DOS ou
avec les logiciels/programmes fonctionnant sous ce système d’exploitation. Il
est donc préférable de se référer aux ouvrages MS-DOS pour avoir des
informations précises sur ce sujet. Pour les autres systèmes d’exploitation,
toute cette structure de mémoire est simplement appelée « mémoire ».
La DRAM (Dynamic Ram) est totalement dépassée et offrait des vitesses
de 100 à 60 ns. La mémoire EDO
(Extended Data Output Ram) existe en plusieurs versions : 70, 60, 50, 40 ns (la
mémoire EDO à 70 ns est maintenant obsolète). Actuellement, le type de mémoire
vive la plus utilisée est la SDRAM (Synchronous Ram) qui a la spécificité de
travailler à la même fréquence que l'horloge système. Ce type de RAM atteint
la vitesse de 15 à 10 ns et fonctionne avec les bus à 100 Mhz et 133 Mhz
(<10ns).. Le standard qui commence à se généraliser sont les mémoires
vives de type RamBus ou RDRam (format RIMM) qui permettront d'atteindre des fréquences
de 300, 356 et 400 Mhz avec une bande passante respective de 1,2, 1,4 et 1,6
Go/s.
la RDRam
verra s'améliorer sa mémoire afin d'atteindre une fréquence de 1.6GHz avec
une bande passante de 6.4 Go/s
Les formats SIMM (Single In Line Memory Module) comportent 72 connecteurs
et sont adressables sur 32 bits. Ces barrettes sur les cartes Pentium doivent être
utilisées par paires. Le format DIMM (Dual In Line Memoty Module) c'est le
format de barrettes le plus répandu de nos jours qui comporte 168 connecteurs
et adressable sur 64 bits. Ces barrettes se placent sur les cartes mères
Pentium par unité contrairement au format SIMM.
La ROM (acronyme de : Read
Only
Memory)
contient des données que le microprocesseur peut lire mais ne peut pas
modifier. Elle a la capacité de conserver des informations même lorsque le
micro-ordinateur n'est pas sous tension. Ainsi elle est utilisée pour stocker
des éléments de base du système d'exploitation (BIOS), ou des polices de
caractères sur les imprimantes notamment.
La mémoire cache est une mémoire qui permet d'accélérer le
fonctionnement du micro-ordinateur en stockant sélectivement une partie des
données les plus fréquemment utilisées. Plus la mémoire cache est
importante, plus le micro-ordinateur sera rapide en fonctionnement.
On retrouve ce genre de mémoire sur les microprocesseurs à partir du
80486, sur les lecteurs CD-ROM, sur les cartes contrôleurs du disque dur, etc.
Mémoire volatile : Mémoire qui maintient les données
lorsqu’elle est alimentée en courant, telle que la mémoire vive.
Mémoire virtuelle : Espace du disque dur qu’utilise un système
d’exploitation comme s’il s’agissait d’une mémoire vive.
Antémémoire : Autre dénomination de la mémoire cache.
Mémoire CMOS (Complementary
Metal-Oxide Semiconductor) :
Type de mémoire dans laquelle sont stockées les informations concernant les
fonctions systèmes de l’ordinateur (données ou paramètres du Setup).
Flash ROM, Mémoire Flash ou encore ROM Réinscriptible : Type de mémoire morte dans laquelle on peut lire, écrire et modifier
des données. La mémoire Flash conserve les données quand elle n’est plus
alimentée en courant électrique.
SRAM : (Static Random-Access Memory).
Type de mémoire
qui conserve les données jusqu'à leurs modifications sans avoir besoin d’être
rafraîchie en charge de courant et dont la vitesse est inférieure à 20 ns
(nanoseconde). La SRAM est utilisée comme mémoire cache externe du
microprocesseur.
EPROM et EEPROM : (Erasable
Programmable Read-Only
Memory
et Electrically
Erasable
Programmable
Read-Only
Memory).
Types de mémoire
morte reprogrammable et effaçable électriquement.
a
- DRAM (Dynamic Random
Access Memory)
ou Mémoire vive dynamique : Technologie de Mémoire utilisée également
pour la mémoire vive traditionnelle (RAM) qui a besoin d’être rafraîchie périodiquement
en charge de courant pour conserver les données qu’elle contient. Ce type de
mémoire ne peut pas lire et écrire à la fois les données, ce qui la rend
plus ou moins lente par rapport aux nouvelles technologies de mémoire et lors
de l’affichage d’images complexes à de hautes résolutions.
b
- VRAM (Vidéo Random Access Memory) ou RAM Vidéo : Mémoire
vive plus rapide que la DRAM, car elle autorise simultanément la lecture et
l’écriture des données.
c
- WRAM (Window Random Access Memory) : Dernière innovation
en matière de mémoire pour cartes graphiques, encore plus performante que la
VRAM.